Sandrine FIAT et David ROGUET. Deux avocats grenoblois. Deux avocats dans la cité qu’il conviendrait presque de ne plus présenter tant leurs compétences sont reconnues ici, ailleurs, partout.
Redoutablement efficaces séparément, les voici réunis pour porter haute la fonction bâtonnière pour un co-bâtonnat qui prendra effet au premier jour de 2026. Et si c’est une première pour Sandrine Fiat, notons que David Roguet s’était déjà prêté à cet exercice prestigieux en 2018-2019.
Plus loin, ce co-bâtonnat où maitres FIAT et ROGUET indiquent que les tâches seront partagées, a déjà donné lieu à un travail de fond, en préparation de leur mandat.
Car les enjeux d’aujourd’hui et les défis de demain sont aussi ceux du barreau de Grenoble.
Un barreau qui, rappelons-le, est un des 20 barreaux les plus importants de France avec plus de 700 avocats. Pour Sandrine Fiat et David Roguet, il faut là aussi accélérer les transitions et faire en sorte que ce bâtonnat se préoccupe de thématiques fortes.
Au programme, ce co-bâtonnat envisage un barreau encore plus collaboratif où la fonction s’exerce avec moins de verticalité, plus de participatif et encore plus de transparence.
Il s’agit également de développer le volet émergeant avec une attention toute particulière portée aux jeunes confrères et consœurs.
Plus loin, le prochain binôme souhaite mettre l’accent sur la maîtrise de l’innovation en prenant en compte l’IA et la cyber sécurité au travers de formations tout en préservant l’humain, sous toutes ses formes, qu’elles soient de l’ordre de l’écoute ou encore de l’émotionnel.
Sandrine Fiat et David Roguet auront donc à cœur d’imaginer un barreau encore plus facilitant, encore plus proche des magistrats et des syndicats mais surtout en totale proximité avec les avocates et les avocats grenoblois.
Soutenez la liberté d’informer !
Vous aimez Le FiL ? Alors soutenez-nous en faisant un don.